Les 10 erreurs à l’entrevue d’embauche qui t’empêcheront de décrocher ton premier poste en gestion (et les solutions)

Temps de lecture: 11 min.

Tu veux devenir gestionnaire depuis toujours. Tu es pas mal fier de toi: tu as enfin obtenu ta première entrevue. Tu espères que cette rencontre te permettra de décrocher ton premier poste en gestion.

Motivé, tu as suivi ma formation en ligne gratuite pour amplifier ton leadership et montrer aux décideurs que tu es prêt pour ton premier rôle de leader. C’est génial! Quelle est la suite?

Comme consultante chez Humance — Culture et performance, j’ai reçu en entrevue plusieurs centaines d’aspirants leaders. J’ai aussi conseillé des centaines de gestionnaires et de partenaires en ressources humaines dans leurs embauches.

J’ai observé que la plupart des aspirants gestionnaires tombent dans l’un ou l’autre de ces 10 pièges lors de leurs entrevues d’embauche. Trouve ta pire zone de vulnérabilité et attaque-la! Pour chaque erreur identifiée, je te conseille sur l’action à prendre pour corriger le tir.

 

1. Tu ne connais pas ton « Why ».

Tu es vraiment, vraiment motivé à devenir gestionnaire. En fait, tu es tellement motivé que tu appliques sur n’importe quel poste. Après tout, plus tu te donnes des opportunités, plus tu as de chances d’obtenir ce que tu veux, n’est-ce pas?

Pourtant, je vois certains aspirants leaders brûler leur candidature dans leurs organisations parce qu’ils appliquent sur tous les postes de leadership qu’ils voient passer.

Même si c’est leur droit, pour certaines personnes aux ressources humaines, ça ne passe pas. Ils se questionnent sur la motivation réelle de l’aspirant leader. Parfois, ils ne prennent même plus leurs candidatures au sérieux.

Trouver ton « why », c’est identifier les raisons pour lesquelles tu veux devenir un leader. C’est aussi d’être au clair sur le type d’opportunités qui te permettra d’exercer le style de leadership que tu souhaites avoir.

Si tu ne sembles pas motivé spécifiquement pour le poste pour lequel tu es interviewé, le recruteur se demandera pourquoi il doit te donner ton premier rôle en gestion alors que tu n’as visiblement pas réfléchi avant d’appliquer sur ce poste.

 

Actions à prendre

Donne-toi une bonne heure pour prendre du recul:

  • Pourquoi veux-tu vraiment devenir gestionnaire? Quel est ton « why »?
  • En quoi est-ce que ce poste précis te permettra de réaliser ton « why »?
  • En fonction de ton « why », comment pourras-tu apporter de la valeur à l’organisation dans ce rôle?

Puis, rédige 3 phrases qui résument tes réponses à ces questions en utilisant cette formule magique:

« Je souhaite devenir gestionnaire parce que (réponse à la question 1). Ce poste m’intéresse grandement parce que (réponse à la question 2). Comme leader, je crois pouvoir apporter beaucoup à votre organisation en (réponse à la question 3) ».

Voici un exemple de ce que ça pourrait donner:

« Je souhaite devenir gestionnaire parce que j’ai toujours voulu servir les autres – et être leader me permettrait de les propulser davantage. Ce poste m’intéresse grandement parce qu’il me permettrait de mobiliser et de développer des employés plus juniors. Comme leader de cette équipe, je pourrai mettre mon expertise à leur service et les faire grandir plus rapidement. »

 

2. Tu n’es pas préparé

Un aspirant gestionnaire qui n’a aucune expérience en gestion part déjà avec un désavantage. Pourquoi le recruteur devrait-il te confier une équipe pour la première fois alors qu’il y a des leaders d’expérience sur le marché? Si, en plus, tu bafouilles lors de l’entrevue et que tu ne sais pas comment bien répondre aux questions, tu ne décrocheras pas le poste.

L’un de mes premiers clients avec Talent Fou m’a sollicitée pour que je l’aide à se préparer à une entrevue d’embauche. Il a obtenu le poste du premier coup.

Oui, je lui ai donné plusieurs bons conseils qu’il a appliqués. Mais ce qui le distinguait vraiment des autres candidats pour le poste, c’est qu’il a mis au moins 20h à se préparer à cette entrevue. Ça peut te paraître beaucoup, mais si tu tiens vraiment à ce poste, tu vas voir que c’est du temps bien investi.

 

Actions à prendre

Réserve une heure de ton temps pour te préparer aux questions les plus fréquentes en entrevue. Par exemple:

  • Explique pourquoi tu as été attiré par le poste;
  • Pratique-toi à résumer ton parcours professionnel en quelques phrases;
  • Identifie 3 de tes plus grands talents, et 3 de tes plus grands points de vigilance;
  • Aie en tête 3 réalisations ou projets qui t’ont permis de démontrer du leadership;
  • etc.

Planifie soigneusement tes réponses et adapte-les pour qu’elles aient de l’impact tout en étant courtes. Prends soin également de faire tes recherches sur l’entreprise afin d’adapter ce que tu aborderas en entrevue.

En passant, j’offre une formation gratuite pour t’aider à préparer et réussir ton entrevue de gestion. Tu peux t’inscrire ici.

 

3. Tu n’es pas sensible à ton impact

Je ne te listerai pas toutes les choses désagréables que tu pourrais faire à l’entrevue et qui rebuteraient ton intervieweur. Mais en voici des exemples:

  • Tu parles trop, ou pas assez;
  • Tu es incapable de regarder le recruteur dans les yeux;
  • Tu parles de tes attentes salariales après 5 minutes;
  • Ta chemise est tachée;
  • Tu critiques tes anciens employeurs;
  • Tu as tous les talents, mais aucun point à améliorer;
  • Etc.

Le fait est que les recruteurs ont leurs biais. C’est regrettable, mais ce sont des êtres humains et ils ne seront jamais parfaits. Tu peux utiliser ça à ton avantage en te comportant comme une personne agréable et professionnelle lors de l’entrevue.

Même si tu n’as pas d’expérience en gestion, tu seras perçu comme quelqu’un d’humain, avec qui il est facile de connecter et qui fait bonne impression. Ce sont des choses importantes en leadership.

Le recruteur pourrait se dire que puisqu’il était facile de connecter avec toi, ça se passera de la même façon pour tes futurs employés. Ainsi, tu t’intégreras bien à l’équipe et tu n’auras pas de difficultés relationnelles – ce qui peut être un atout important à ta candidature.

 

Actions à prendre

Fais des pratiques d’entrevue avec un ami ou, mieux encore, un professionnel (recruteur, conseiller d’orientation ou coach spécialisé en leadership). Demande à l’autre de te donner un feedback honnête et constructif sur ton impact relationnel. Qu’est-ce que tu fais de bien? Que devrais-tu commencer, continuer et arrêter de faire pour projeter l’image d’un leader agréable et professionnel?

 

4. Ton discours est centré sur toi

Tu veux tellement ce poste que tu es centré sur ce qu’il pourra t’apporter. Et cela transparaît dans ton discours en entrevue:

Recruteur: « Pourquoi voulez-vous ce poste? »

Candidat: « JE crois que c’est vraiment une belle opportunité pour MOI de faire avancer MA carrière. Je veux améliorer MON sort. C’est une valeur forte chez MOI de progresser, J’ai beaucoup d’ambition. JE suis rendu là dans MA carrière. Dans MON poste actuel, JE manque de défis. Bla, bla, bla… Moi, moi, moi… »

Recruteur: « zzzZZZzz »

L’organisation ne cherche pas vraiment à te rendre service en t’offrant ce poste. Ce qu’elle veut, c’est trouver la personne qui apportera le plus de valeur possible. Tu dois donc bien comprendre ce que l’organisation cherche, les défis que ce rôle comporte et ton plan pour y parvenir.

Concentre-toi sur le besoin que tu vas résoudre pour cette entreprise.

 

Actions à prendre

Lis attentivement la description du poste et tente de recueillir des informations auprès du recruteur ou du service des ressources humaines. Liste les trois principaux défis que la personne dans le poste aura à relever. De quoi a-t-on besoin pour que cette équipe et cette organisation réussissent? Puis, prépare-toi à résumer ce que tu as compris du poste et comment tu vas contribuer à résoudre les défis qui t’attendent.

Par exemple: « Suite à nos entretiens préliminaires, j’ai compris que vous aviez besoin d’un leader qui allait insuffler davantage de motivation aux équipes et qui allait s’assurer de mieux structurer le travail afin de mieux satisfaire la clientèle. Je résume bien?

Dans le passé, j’ai justement réalisé un projet où j’ai réussi, en optimisant les processus, à augmenter la satisfaction des clients de 22%. Aimeriez-vous que je vous en parle davantage? »

 

 

5. Tu ne connectes pas avec le recruteur

La personne qui t’interroge en entrevue est un être humain. Ça peut paraître évident, mais parfois, on l’oublie.

En psychologie, il est bien connu que les moments dont on se souvient le plus sont le début et la fin. C’est la même chose pour les entrevues: la façon dont tu démarres et termine ton entrevue va en grande partie déterminer comment le recruteur se souviendra de toi – et ce qu’il aura envie de faire avec ta candidature ensuite.

Les études sur la mémoire indiquent aussi que nous nous souvenons davantage des moments qui nous ont fait vivre des émotions fortes. Ainsi, ton interviewer ne se souviendra peut-être pas de tout ce que tu auras dit. Mais ils se souviendront certainement de comment ils se seront sentis avec toi pendant l’entrevue.

 

Actions à prendre:

Prépare soigneusement ta stratégie pour  connecter avec le recruteur dès le début de ton entrevue. Pense à ces petits détails:

  • Sourire;
  • Offrir une poignée de main chaleureuse;
  • Offrir un compliment sincère au recruteur, si l’occasion s’y prête;
  • Être prêt à bien répondre aux premières questions d’usage sur ton parcours professionnel et ta motivation pour le poste.

Tente d’injecter des émotions positives fortes dans ton discours. Utilise des mots percutants, raconte des anecdotes captivantes et parle de ton désir d’être gestionnaire avec intensité. Tu augmenteras ainsi tes chances de marquer l’esprit de ton interviewer. Puis, réfléchis à comment tu aimerais conclure l’entrevue:

  • En résumant en deux ou trois phrases la principale valeur que tu apporteras dans ce poste (pense à être synthèse, clair et captivant);
  • En indiquant au recruteur à quel point tu as apprécié cet échange avec lui;
  • En lui offrant à nouveau le sourire et la poignée de main chaleureuse.

 

6. Tu te vends trop agressivement

Certains aspirants gestionnaires croient, généralement à tort, qu’ils doivent afficher une confiance extrême en entrevue pour réussir. Après tout, les leaders doivent afficher une confiance à toute épreuve en toutes circonstances, n’est-ce pas? Si tu penses ainsi, tu crois sans doute qu’à l’entrevue, tu dois:

  • Parler beaucoup, quitte à interrompre ton recruteur ou à s’écarter de ses questions;
  • Cacher tes petits défauts et accentuer tes talents;
  • Répéter que tu es clairement et de loin le meilleur candidat pour le poste, et de loin;
  • Présenter tes réalisations de manière grandiose, quitte à exagérer légèrement;
  • Etc.

C’est une fausse croyance. Aujourd’hui, on apprécie de plus en plus les leaders humbles, qui savent se remettre en question et accepter leurs torts. Si tu sembles surconfiant, ton interviewer pourrait penser que :

  • tu auras de la difficulté à te remettre en question;
  • tu prendras trop de place au détriment de celle de l’équipe;
  • tu n’écouteras pas les suggestions des autres;
  • tu auras un impact désagréable sur tes interlocuteurs;
  • tu n’apprendras pas de tes erreurs;
  • etc.

 

Actions à prendre

Trouve un équilibre quant au niveau de confiance que tu affiches pendant l’entrevue.

Demande à ceux qui te connaissent bien, au travail comme à la maison, de te partager leurs observations.

Qu’est-ce que tu dis, fais ou laisse paraître dans ton non-verbal qui donne l’impression que tu manques de confiance, ou que tu en as trop? Tu sauras exactement ce que tu dois ajuster à l’entrevue.

 

7. Tu n’as pas préparé d’exemples concrets

Il vaut toujours mieux être prêt à mettre en valeur tes projets d’envergure et tes réalisations professionnelles. Mais quand tu veux devenir gestionnaire pour la première fois, c’est tout simplement crucial. Ton interviewer ne peut pas se fier à ton CV ou à ton parcours professionnel pour en déduire que tu seras un bon leader.

Tu dois donc lui en faire la preuve. Et la meilleure façonde le faire, c’est d’incorporer  des exemples concrets qui parlent de ton leadership. Si tu ne montres pas concrètement à ton interviewer comment tu as démontré du leadership dans le passé, c’est un peu comme de lui dire ceci: « Je n’ai pas d’expérience en gestion, mais fais-moi confiance et donne-moi le rôle, j’y arriverai. »

Pas très convaincant, n’est-ce pas?

 

Actions à prendre

Peut-être crois-tu que puisque tu n’as pas d’expérience en gestion, tu n’as rien de spécifique à dire sur ton leadership. C’est un piège! C’est certain que dans certains projets, lors d’une réunion d’équipe ou face à un conflit entre deux collègues, tu as su manifester du leadership.

Dans ta vie personnelle, tu as peut-être dirigé une équipe sportive, démarré un groupe pour apprendre le tricot ou animé un club de lecture. À toi de trouver, dans toutes tes expériences personnelles et professionnelles, ce qui démontre ton leadership.

Et si vraiment tu ne trouves rien, tu dois te questionner. Si tu n’as jamais manifesté de leadership dans ta vie, qu’est-ce qui te laisse croire qu’un poste en gestion te permettra vraiment d’agir comme un leader? Tu auras le titre, mais pas l’influence et la crédibilité pour être réellement perçu comme un leader.

Si c’est ton cas, mets-toi en action et commence à manifester du leadership – ça presse! (Heureusement, j’ai créé une formation en ligne gratuite pour t’aider à amplifier ton  leadership.)

 

8. Tu ne montres pas ton leadership pendant l’entrevue

Puisque tu n’as pas d’expérience en gestion, ton interviewer se pose assurément cette question : « Il veut devenir gestionnaire mais en est-il vraiment un? ». Par exemple, si ton interviewer voit que:

  • Tu bafouilles et tu es incapable de le regarder dans les yeux;
  • Tu réponds aux questions en 3 mots;
  • Tu n’as pas une approche humaine;
  • Etc.

Il en conclura – à tort ou à raison – que tu auras beaucoup de difficultés à être un pilier solide et mobilisateur pour une équipe de travail.

Évidemment, tel que discuté au point 6, montrer que tu as du leadership ne signifie pas de prendre le leadership de l’entrevue et de dominer le recruteur. C’est un piège fréquent et si tu tombes dedans, tu auras simplement l’air désagréable. Alors, que dois-tu faire?

 

Actions à prendre

Pense à un ou deux leaders que tu connais et à qui tu aimerais ressembler. Quelle est la différence dans leur énergie, leur façon de s’exprimer, la façon dont ils pensent?

Identifie trois caractéristiques de leur approche que tu serais prêt à importer dans ton propre style. Les petits gestes comptent également:

  • Offre une bonne poignée de main;
  • Aies une posture droite et redresse tes épaules;
  • Parle de manière calme et posée.

Tu peux aussi faire une pratique d’entrevue avec un professionnel afin d’obtenir du feedback. Il sera en mesure de t’aider à injecter du leadership dans ton approche ou dans tes réponses d’entrevue.

 

9. Tu ne sais pas et tu n’expliques pas quel genre de leader tu seras

Il sera peut-être difficile pour ton interlocuteur de juger, à l’entrevue, du type de leader que tu seras une fois en poste. Peut-être que tu ne le sais pas vraiment toi-même. Après tout, ce sera ta première expérience comme leader, et c’est difficile de se projeter dans un rôle aussi différent.

Malgré cette difficulté, c’est tout de même ton rôle d’expliquer à ton interviewer le genre de leader que tu souhaites incarner – même si c’est difficile.

Tu ne peux pas simplement vouloir être un leader. Tu dois t’imaginer dans ce rôle précis et cerner ce qui caractérisera l’essence de ton leadership.

Tu dois aider le recruteur à faire le lien entre ce qu’il recherche et ce que tu seras dans ce rôle.

Heureusement, si tu te connais bien et que tu as une bonne capacité d’introspection, tu vas y parvenir. Je te donne un coup de pouce dans les prochaines lignes.

 

Actions à prendre

Identifie les trois mots qui décrivent le plus le type de leader que tu souhaites devenir. Veux-tu être un leader :

  • inspirant?
  • humain?
  • structuré?
  • visionnaire?
  • calme?
  • équitable?

Évidemment, tu souhaites probablement incarner toutes ces qualités. Mais lesquelles te ressemblent davantage? Après avoir identifié tes 3 à 5 qualités, trouve des exemples où tu as incarné ce style de leadership au travail. Ainsi, tu pourras prouver à ton interviewer que ce ne sont pas que des mots, mais des qualités réelles que tu sauras démontrer en situation de leadership.

 

10. Tu ne montres pas d’ouverture à te développer

Quand on commence en gestion, on a tout à apprendre. Puisque tu n’as pas d’expérience en gestion, tu auras clairement à te développer sur certains aspects.

Si tu pars dans l’idée que tu as un leadership naturel et que tu sais déjà tout, ton interviewer sera très inquiet. Car les pires aspirants leaders sont ceux qui pensent déjà tout connaître de la gestion.

N’étant pas conscients de leurs propres pièges, ils tombent dedans allègrement. Ultimement, ces nouveaux leaders peu ouverts à se développer finissent par gâcher leur crédibilité auprès de leurs équipes. Ce n’est pas rare qu’ils doivent quitter après 6 mois ou 1 an pour cette raison — et ton interviewer voudra à tout prix éviter ça.

 

Actions à prendre

Compte tenu de tes talents et de tes points de vigilance, quels sont les pièges qui te guettent en lien avec le leadership? Identifie au moins un talent sur lequel tu pourras miser et au moins un point de vigilance qui risque de te nuire dans ton premier rôle en gestion.

Indique à ton interviewer honnêtement ce qui te fait le plus peur en gestion. Pour certains, c’est la gestion de la performance et la discipline: comment s’y prendre? Pour d’autres, c’est le fait de passer de collègue à patron.

Pour toi, c’est quoi? Identifie ta crainte et les façons dont tu pourras les surmonter. Comment iras-tu chercher du soutien dans tes premiers mois pour gérer ces situations inconfortables? Ton recruteur sera rassuré de savoir que tu ne te lances pas dans ce premier défi de gestion aveuglément.

Partage à ton interviewer ce que tu fais pour apprendre en continu et t’améliorer. Montre-lui que tu sais que tu ne sais pas tout. Montre-lui que tu es prêt à faire tous les efforts nécessaires pour devenir un bon leader.

 

En conclusion: Réfléchis, prépare-toi et connecte

J’ai vu, dans ma carrière, des personnes qui sont devenues gestionnaires au premier essai. Pour d’autres, cela a pris… des années. Est-ce le hasard? Je crois que non.

Oui, certains peuvent être plus chanceux que d’autres et avoir accès à de meilleures opportunités.

Mais en moyenne, j’ai observé que ceux qui obtiennent leur premier rôle en gestion plus rapidement ont approché ce défi différemment des autres.

Mets toutes les chances de ton côté en prenant conscience des erreurs qui te guettent. C’est ta meilleure chance pour obtenir ce poste que tu convoites tant.

Et si tu es vraiment motivé, commence tout de suite à te préparer à ta prochaine entrevue en t’inscrivant à ma formation en ligne 100% gratuite sur la préparation à une entrevue de gestion. Tu apprendras comment optimiser ta préparation, répondre parfaitement à toutes les questions d’entrevue et faire bonne impression auprès de ton interviewer.

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    Myriam Plamondon,
    M. Sc., M.A., c.o.o.

    Fondatrice de
    Talent Fou

    Je suis consultante en psychologie organisationnelle et coach de leadership.

    J’ai fondé Talent Fou pour aider les aspirants leaders à faire une réelle différence dans leur organisation et pour leurs collègues. Je suis déterminée à t’offrir toujours plus de stratégies concrètes et efficaces pour développer ton leadership et te tailler une place dans le monde de la gestion.

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